Le CSME, Club Sportif Multisections D'Epinay-Sur-Seine

 

Présentation Athlétisme

Marcher - Courir - Sauter - Lancer : Ce sont les gestes fondamentaux de l’athlétisme. Ce sont aussi des gestes de la vie courante, c’est pourquoi la première approche de l’athlétisme ne sera pas technique mais ludique.
Pratiqués en nature ou dans un stade, tu pourras réaliser dans un premier temps des activités multiformes sollicitant toutes les grandes fonctions

PLEIN DE BONNES RAISONS POUR JOUER A L'ATHLÉTISME

L'athlé, ça le fait !

Mets tes baskets, tu verras, l'athlé c'est chouette.
Avec l'athlé, t'as bonne mine et t'as du souffle.
En compète, t'es jamais lésé, c'est un sport juste, l'athlé ; C'est le chrono et le décamètre qui te jugent. Le jury, il te respecte.
L'athlé, ça rend beau dans sa tête et dans son corps.
Courir, tu peux faire çà tout seul ou avec tes copains et t'es pas forcément obligé de faire de la course.
L'athlé, ça peut se faire aussi en famille : ton père court, ta mère fait son jogging, ton frère saute à la perche, ta sœur lance le jav et Papy fait de la marche !
T'as pas besoin d'avoir gratté un millionnaire pour faire de l'athlé : un short et des pompes, ça ne coûte pas trop cher !
L'Athlétisme, c'est dur à écrire sans faute mais c'est facile et c'est fun. Ca défoule et ça calme.
Tu seras encore meilleur au foot si tu fais de l'athlé. Même Zidane, il en fait !
Si tu sais courir, sauter, lancer alors tu pourras aussi faire n'importe quel autre sport.

L'athlé : des pures sensations !

 
 
 

[Athlétisme] Animation jeunes à Argenteuil 02 - Athlétisme [Athlétisme} Cross de l'Acier : dernière place disponible

[Athletisme] Riad GUERFI Champion de France du10 000 mètres
 

Du suspens, il n’y en a pas eu beaucoup, mercredi soir, sur la piste mythique du stade Adolphe-Chéron de Saint-Maur-des-Fossés. Riad Guerfi (CSM Epinay-sur-Seine), en 29’09’’69, et Carmen Oliveras (Entente Fontenay Plessy Clamart Athlé 92), en 34’40’’15, se sont tous les deux imposés en solitaire lors des championnats de France du 10 000 m. Le premier nommé a empêché Hassan Chahdi, déjà titré depuis le début de l’année sur 3000 m en salle, cross et 10 km, de réaliser un quadruplé mémorable en deux mois. Retour sur les cavaliers seuls des Franciliens.

Le 10 000 m, avec ses vingt-cinq tours de piste à avaler, est une distance qui ne pardonne pas. Quand Hassan Chahdi a commencé à grimacer et à perdre pied, après un passage en 14’25 à mi-course, on s’est dit que la fin de course du fondeur de l’EA Centre Isère allait ressembler à un chemin de croix. Sagement, le Rhônalpin a d’ailleurs préféré s’arrêter quelques centaines de mètres plus loin, plutôt que de vivre un long calvaire. Devant, Riad Guerfi se retournait et constatait qu’il était le seul Français à être encore dans la foulée du lièvre kenyan Timothy Kiptoo. « J’ai compris à ce moment-là que j’avais course gagnée et j’ai pu savourer », raconte celui qui est en train de devenir un vrai spécialiste de ce championnat de France (ndlr : il s’était déjà imposé en 2013 à Saint-Maur, avant de prendre la deuxième place l’an dernier). Emmené parfaitement jusqu’au huitième kilomètre par Kiptoo, qui avait visiblement bien digéré la boisson énergétique, bien connue des fêtards, ingurgitée juste avant son footing d’échauffement (!), le fondeur du CSM Epinay-sur-Seine a faibli un peu dans les derniers hectomètres. Logique, face à un vent tenace et défavorable dans la ligne droite opposée. « Quand je me suis retrouvé seul, ça a été dur mentalement, confirme Riad Guerfi. En plus, je suis allergique au pollen donc c’est toujours compliqué pour moi de courir fin avril. Les deux derniers tours ont été infernaux. » En 29’09’’69, il est resté à distance de son record personnel (28’55’’03 l’an dernier). Qu’importe, le protégé de Pascal Machat, qui devrait participer à la Coupe d’Europe du 10 000 m le 6 juin à Chia (Italie), était venu au stade Chéron pour le titre. Une victoire qu’il a tenu à dédier à la mairie d’Epinay, à son entraîneur et à son kiné Arnaud Drouot.

 

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